SKIA, en grec ancien ombre ou trace... dont dérivent les mots scène, scénographie. Scène, lieu où l'on représente. Métaphore baroque du monde comme théâtre. Représentations, réalisations de ce microcosme qu'est l'homme. Cet espace est la scène sur laquelle on parlera de nos intérêts et on présentera nos idées et nos réalisations.
Merci pour votre visite, votre commentaire sur cette oeuvre souligne un aspect important des vanités anciennes, la méditation sur la gravité aux différents sens du terme... poids des faits et des choses. Bonne semaine...
J'avoue que je me sens plus attirée vers les roses... elles sont somptueuses. Quel travail et quel beau travail monsieur le héron cendré, nous avons la chance de pouvoir l'admirer, merci !Belle après-midi. brigitte
Une oeuvre un peu déroutante pour moi, j'avoue. J'essaie d'en saisir l'essence (les sens ?), mais me laisse tranquillement aller à admirer la maîtrise dans l'exécution, et ces somptueuses roses dont il me semble sentir le parfum.
Merci pour vos mots si gentils Valdelia... je n'explique pas beaucoup, il est vrai, d'une part parce que je me concentre beaucoup sur ce blog et sur le travail de la peinture, d'autre part parce que, comme disais l'un des Carracci, peintres bolonais du XVIIème, "nous autres les peintres, nous avons à parler avec nos mains". D'une façon très synthètique, une vanité - cette vanité en tous cas - met en scène et souligne une certaine ambiguïté inscrite dans la réalité: les choses les plus belles sont toutefois périssables et destinées à s'abîmer; et d'un autre coté, même la carcasse d'un animal, ses restes, peuvent révéler quelque chose de noble et de beau. La vrai noblesse et la vrai beauté étant toujours celle de la vertu et de la droiture. C'est cela que l'observation de la fin devrait enseigner. Bon WE chère amie...
Gravité pendulaire. D'un aplomb la latine citation.
RépondreSupprimerMerci pour votre visite, votre commentaire sur cette oeuvre souligne un aspect important des vanités anciennes, la méditation sur la gravité aux différents sens du terme... poids des faits et des choses.
RépondreSupprimerBonne semaine...
Cette belle toile se lit dans les deux sens de la verticalité ; de la vanité grave et sans appel à la légèreté éphémère d'une rose. Bravo !
RépondreSupprimerJ'avoue que je me sens plus attirée vers les roses... elles sont somptueuses. Quel travail et quel beau travail monsieur le héron cendré, nous avons la chance de pouvoir l'admirer, merci !Belle après-midi. brigitte
RépondreSupprimerMerci Pétales de Fées, Brigitte... prochainement un travail que avec des roses :-) Bonne soirée...
RépondreSupprimerUne oeuvre un peu déroutante pour moi, j'avoue. J'essaie d'en saisir l'essence (les sens ?), mais me laisse tranquillement aller à admirer la maîtrise dans l'exécution, et ces somptueuses roses dont il me semble sentir le parfum.
RépondreSupprimerV.
Merci pour vos mots si gentils Valdelia... je n'explique pas beaucoup, il est vrai, d'une part parce que je me concentre beaucoup sur ce blog et sur le travail de la peinture, d'autre part parce que, comme disais l'un des Carracci, peintres bolonais du XVIIème, "nous autres les peintres, nous avons à parler avec nos mains".
RépondreSupprimerD'une façon très synthètique, une vanité - cette vanité en tous cas - met en scène et souligne une certaine ambiguïté inscrite dans la réalité: les choses les plus belles sont toutefois périssables et destinées à s'abîmer; et d'un autre coté, même la carcasse d'un animal, ses restes, peuvent révéler quelque chose de noble et de beau. La vrai noblesse et la vrai beauté étant toujours celle de la vertu et de la droiture. C'est cela que l'observation de la fin devrait enseigner.
Bon WE chère amie...