Restauration d'une toile peinte
(XVIIIème s., revêtement mural dans un château)
(XVIIIème s., revêtement mural dans un château)
La situation de départ - au centre la toile a été découpée pour laisser place à une cheminée.
Un morceau de toile provenant de la même décoration sera utilisé pour combler la partie manquante.
Détail de la partie gauche
Détail de la partie droite - petits accidents et manques
Utilisation du morceau de l'ancienne toile et d'une nouvelle toile
La peinture reconstituée
Détails de l'intervention picturale
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Restauration d'un tableau (école suisse, env. 1920)
Les manques sont comblés avec des interventions locales, des masticages et des retouches. Après un nettoyage léger, on tamponne la toile avec de l'huile de lin.
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Restauration d'un tableau (signé H. Faber, Bruxelles, 1775)
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Restauration d'un petit cuivre XVIIème
"Extase de Saint-François"
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Restauration d'un tableau XVIIème
"Vierge à l'enfant" (école bolonaise)
Le nettoyage révèle une peinture de qualité mais très abîmée
L'original, au format ovale, a été monté sur un châssis rectangulaire
Des repeints anciens sont présents et altèrent la lisibilité de la peinture d'origine
Les parties abîmées sont réintégrées en tenant compte de la technique
d'origine, qui comporte des bases+glacis.
La trace d'une croix est visible dans la main de l'enfant, elle est
reconstituée. Les repeints sont limités au minimum indispensable.
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Tableau des années 1950-60 dans le style de la peinture baroque
Le tableau a été exécuté sur un ancien support en bois avec des assemblages du type "rainure/languette".
En correspondance des lignes d'assemblage, la peinture se fissure et s'écaille. Manques importants vers le centre.
La couleur est fixée à l'aide d'une solution de colle de peau, puis on fait ré-adhérer les parties de couleur soulevées au support. Les manques sont réintégrés et le tout est verni avec un verni mat.
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Restauration d'un tableau (école suisse, env. 1920)
Le tableau présente de nombreuses lacérations et coups. L'aspect général est terne. La restauration se propose de restituer l'oeuvre à une lisibilité optimale tout en évitant des interventions trop lourdes (rentoilage).
Les manques sont comblés avec des interventions locales, des masticages et des retouches. Après un nettoyage léger, on tamponne la toile avec de l'huile de lin.
Restauration d'un tableau (signé H. Faber, Bruxelles, 1775)
Pour ce portrait aussi, on évite le rentoilage. Le propriétaire veut que le tableau reste "dans son jus". Des repeints sont éliminés et remplacés par un masticage et retouchage. La restauration est ensuite ternie pour s'harmoniser avec l'existant.
Restauration d'un petit cuivre XVIIème
"Extase de Saint-François"
Restauration d'un tableau XVIIème
"Vierge à l'enfant" (école bolonaise)
L'original, au format ovale, a été monté sur un châssis rectangulaire
Des repeints anciens sont présents et altèrent la lisibilité de la peinture d'origine
d'origine, qui comporte des bases+glacis.
La trace d'une croix est visible dans la main de l'enfant, elle est
reconstituée. Les repeints sont limités au minimum indispensable.
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Tableau des années 1950-60 dans le style de la peinture baroque
En correspondance des lignes d'assemblage, la peinture se fissure et s'écaille. Manques importants vers le centre.
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